Certes pas trop connu du grand public, mais, il y’a plus de 40 an, l’UNESCO a constaté un parfait reflux du potentiel de notre patrimoine culturel et nature. C’est particulièrement pour contre carrer ce phénomène que le 16 Novembre 1972 qu’elle a adoptait la « convention sur le patrimoine culturel et naturel » car, chaque espèce ,chaque unité de culture qui disparait ,c’est une richesse socio -économique qu’on perd a signifié Mr Alioune Ly ,secrétaire Général de la commission nationale pour l’UNESCO ce 16 juin à Dakar en marge du lancement de l’atelier de ‘’ renforcement des capacités des professeurs d’Histoire et de Géographie sur le patrimoine culturel et nature ‘’.
En effet, cet atelier, une initiative de l’UNESCO entre dans la célébration de la 40éme anniversaire de la dite convention a fait savoir Mr Ibrahima Sall, ministre de l’éducation Nationale, a manifester ,la volonté de l’Etat du Sénégal d’efficacement de se doter des outils solides pour la protection et la préservation du patrimoine national culturel et naturel car , il craint que des menaces sur ce patrimoine sont plus suspectes surtout avec les conflits dans la sous région plus particulièrement au Mali avant d’avancé. « Ce patrimoine ne constitue pas seulement une richesse culturelle mais aussi un facteur synergique au développement économique ».
En effet durant deux jours des professeurs, d’histoires et de géographies, véhicules du savoir, selon le SG de la commission nation de l’UNESCO vont bénéficier de nouveaux outils afin de mieux s’armer face à leur devoir, car. « Convaincu que l’école reste et demeure la porte d’entrée incontournable pour assoir des attitudes et aptitudes mais aussi pour assoir les bases d’une société attachée à la diversité culturelle sous toutes ses formes matérielle comme immatérielle ». {jcomments on}
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