Le pays va mal
Par urbi et orbi, l’on râle
Comme condamnés dans de sinistres dédales
Le peuple souverain est toujours là,
Plus que las
Tympanisé par leurs tralalas… !
La jeunesse reste déçue dans ses espoirs
Elle continue de broyer du noir,
Veuve du fruit blet du « Grand Soir »
La République, elle, est comme en déperdition
Voilà que nos cœurs sont en contrition
Le « Mackysme » est une pure illusion d’illusions !
Le bateau tangue vers le pire
Nous affamer, voilà leur nouvelle ligne de mire
A ce jour, personne n’affiche plus le moindre sourire
Le rêve est devenu rêvasse
Quelle déguelasse !
Tristes, ces infortunés de masse
La deuxième alternance avec ses odeurs de rance,
Elle est loin d’être la délivrance
Tous debout pour faire face à ses déviances
Jamais passifs
A ses incuries, toujours rétifs
N’acceptons jamais d’êtres leurs plumitifs !{jcomments on}
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